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Au plus tôt, que ne veulent-elles plus ?
-Peut-être ne plus croiser dès le matin l’alcoolo de service avec sa baguette de pain prise en otage sur ses aisselles qui embaument la soupette de légumes, car la douche quotidienne n'est pas automatique.
-Le voisin en costume- cravate qui se donne à cœur joie de tabasser sa femme sauf au visage parce qu'elle a regardé un mec au centre commercial et aimerait s’inscrire aux activités Fitness* de la mairie.
-Il y a aussi, le copain branleur du maraîcher, qui se vente de vivre que du RSA* et qui en même temps taxe des cigarettes avec la promesse de les rendre. Sauf qui deal dans sa voiture pendant que les cigales dorment...
-Il ne faut pas oublier le tombeur de ses dames édenté, lequel est en couple avec la sorcière du village et célibataire dans les réseaux sociaux. Comme le disait si bien Jacques Chirac*
' Ce n'est pas la fête du slip tous les soirs'.
-L’indétrônable Ibérique se vantant d’avoir une grosse bite faisant office d’un marteau-piqueur et ne comprenant toujours pas pourquoi les femmes partent en courant dès le premier rendez-vous.
-Le beau parleur, fidèle aux déodorants en promotion, néanmoins beau gosse, mais sans aucune virilité apparente ni palpable. Quel gâchis !
-L'hypocondriaque du village, blanc comme un linge, accro au PMU* qui se branle tous les soirs devant son écran, par peur d'attraper le SIDA* et MST*.
Et la mascotte Clairanencs en couple avec une couguar, qui ne fait que se tripoter la nouille à chaque fois qu'il parle, ne serait-ce que pour lâcher un 'bonjour' aux passants, tel un éjaculateur précoce.
Pendant ce temps, Perpignan* luit ses beaux trottoirs comme un enfant étrennant ses souliers neufs vernis.